Nous devons préparer méthodiquement la Réplique Populaire contre le putsch civile qui s'annonce

Cette discipline ne doit pas limiter notre action à la seule prévention, nous sommes désormais dans le devoir de PRÉPARER MÉTHODIQUEMENT LA RÉPLIQUE POPULAIRE.

En effet, la menace putschiste est de plus en plus évidente et prégnante, et nous devons anticiper et coordonner à grande échelle les méthodes, organes et structures de gouvernance anti-putschiste, alternative et transitoire qui devront se déclencher comme un parachute pour protéger et sauver nos acquis démocratiques.

Nous sommes dans l'obligation de rééditer la mobilisation de janvier-février 2007, mais avec une tactique protectrice de la vie de nos concitoyens. 
C'est parfaitement possible et désormais à notre portée. 
Avec les méthodes appropriées, nous pouvons non seulement EMPÊCHER LE RÉFÉRENDUM ILLÉGAL, mais aussi DÉCONNECTER LA CHAÎNE DE COMMANDEMENT DU POUVOIR CIVIL PUTSCHISTE.

Ne nous y trompons pas : les putschistes n'ont l'intention ni d'entendre nos avertissements ni de reculer.

Ivres de pouvoir abusif et d'arrogance inqualifiable, ils n'ont que mépris pour les guinéens, notamment pour tout le sang versé dans nos combats pour le CHANGEMENT et l'avènement de la DÉMOCRATIE ET DE L'ALTERNANCE.

Leur prochaine victime désignée est le Kountigui de la Basse-Côte qui n'a pourtant fait que se soumettre à la volonté populaire des jeunes défenseurs de la Constitution qui se mobilisèrent pour l'empêcher de se prêter au jeu des putschistes.

Je vous invite à bien lire le texte ci-après et d'attendre les propositions concrètes de SALUT PUBLIC qui seront bientôt faites par le Mouvement Populaire pour le Changement, de façon à gérer le régime de TRANSITION QUI S'IMPOSERA POUR BOUTER LES PUTSCHISTES CIVILS HORS DU POUVOIR aussitôt que le Président Alpha CONDÉ se sera implicitement démis en prenant le décret convoquant un référendum ILLÉGAL et contestant la Constitution dont il tire son pouvoir.

LU POUR VOUS DE Mohamed Lamine Condé:

《Basse Côte : nouveau pas vers l’éviction d’Elhadj Sékhouna Soumah, dans son propre camp, on apprend que des voix discordantes s’affirme déjà dans les prochains jours pour demander la fin de son « très long règne » C'est le vice-doyen du Kountigui Elhadj Doungou Soumah de Kaporo, notabilité adulée et aussi très respectée, qui est sollicité par les sages!

« C’est Malick Sankhon qui l’a évacué tout dernièrement vers la Tunisie pour ses soins. Il y a fait deux mois. Bien sûr avec la bénédiction du chef de l’État. La convention était qu’il rejoigne la Guinée pour aller à Kindia. C’est encore Malick Sakhon qui a envoyé son billet-retour.

Quand il est rentré à Conakry, il a été accompagné jusque chez lui à Tanènè. Le lendemain, il devrait se rendre à Kindia. Quelle fut notre surprise d’apprendre que le Kountigui a refusé de venir. Et mieux, il se retourne contre ses bienfaiteurs en les traitant de tous les noms, en passant dans les radio fantôme des pro- UFR, pour insulter et vilipender ces bienfaiteurs, une surenchère pour demander plus d'argent, il se présente comme une victime. Mais il n’a pas encore tout dit.

Nous l’invitons à tout révéler dans la presse. Sinon, ce sera trop tard. Il a fait le tour des partis politiques avant de se retrouver avec le pouvoir. Il était avec Cellou Dalein Diallo quand Alpha Condé a pris le pouvoir en 2010. Donc, ce n’est pas maintenant qu’il pourra entamer notre marche, un Kountigui est avant tout un poste moral, pas politique, nous laissons les digne fils de la basse-Côte, de choisir librement leur Kountigui, selon nos tradition ancestrale, un conseil des sages sera chargé à cet effet!》.